Après les volcans, nous avons pris la route pour rejoindre la côte du Pacifique sur la péninsule du Nicoya. À Samara, nous avons trouvé un hébergement (le Fenix) directement sur le bord de la plage, un peu à l’écart de la ville. Nous avons adoré l’emplacement et la plage très sécuritaire et tranquille. Celle-ci est réputée comme l’une des plages les plus charmante et plus sûre du Costa Rica. Cet endroit est très populaire auprès des familles car ici, il n’y a pas de ‘rip current’.
La plage de Samara…eau super chaude, petites vagues tranquilles…(voir le vidéo des vagues fait par Samuel)
Un kilomètre plus loin se trouve le petit centre ville de Samara (une rue pas pavée). C’est vraiment tout petit mais super cute!
Les gars ont eu du fun avec les boogie boards prêtés par les proprios de l’hôtel (deux américains très sympathiques).
Un petit avant goût du surf qui les attend à Santa Teresa…
Ballade du dimanche en chevaux pour les ticos de la place.
Relaaaaaxe….
Les beaux couchés de soleil de la côte Pacifique…
Santa Teresa, le paradis du surf…
Après Samara, on a continué notre route plus au sud au bout de la péninsule de Nicoya jusqu’à Santa Teresa. Notre but : prendre un cours de surf. Ici, c’est relaxe aussi, comme Samara mais c’est fréquenté en majeure partie par des jeunes venus faire du surf. Il y a vraiment de bonnes vagues et l’eau est encore ici super chaude. Par contre, ce n’est pas facile d’accès. La route pour s’y rendre est en terre et ça vire tout le temps. On est arrivés à Santa Teresa tous un peu verts.
À quelques kilomètres de Santa Teresa se trouve Cabuya, un petit village de pêcheurs.
La ‘strip’ de Santa Teresa, une rue en terre où les gens circulent surtout en vélo et en 4 roues.
À Santa Teresa, nous avons logé au Méli-Mélo, un hébergement tenu par un couple de Français vraiment sympathique (Mélanie et Frédéric). C’est Frédéric, le propriétaire qui a donné le cours de surf aux gars. C’est un vrai passionné qui est en plus un pédagogue hors pair.
Introduction au surf avec Fred. Il faut commencer par le commencement…
C’est parti!
Pas facile…j’aime mieux prendre les photos! 🙂
Zac très concentré.
Déjà d’être capable de se lever sur sa planche comme ça, je leur lève mon chapeau! (voir le vidéo du cours de surf)
Un repos bien mérité…
Et après plusieurs années de pratiques et quelques tasses d’eau salées avalées, voici ce que ça peut donner. Faut pas lâcher!
Notre tentative d’aller voir les chutes de Montezuma
On vous raconte notre voyage comme si tout était rose mais on a de petits pépins, parfois. Rien de grave, heureusement…Il parait que les chutes de Montezuma c’est très beau et qu’on peut faire un peu de ‘cliff jumping’. Un bon matin, après une nuit où il avait plu vraiment beaucoup nous partons de Santa Teresa pour nous rendre à Montezuma dans le but d’aller voir ces magnifiques chutes. Sur le petit chemin que nous prenons, nous rencontrons quelques ‘ruisseaux’ que l’on doit traverser. Bon c’est pas si pire, ça passe encore…Sauf que Sam se met à avoir vraiment mal au cœur avec tous ces détours. En arrivant à Montezuma, on viraille encore pour trouver la chute. On se fait indiquer le mauvais chemin car notre espagnol n’est pas tout à fait au point. On trouve enfin la chute mais Samuel a de la misère à marcher tellement il a mal au cœur. On y va doucement…mais l’eau est brun chocolat à cause de la pluie et les roches sont très glissantes. On ne fait pas 500 mètres et on vire de bord pour s’en retourner à Santa Teresa…Parfois, c’est juste pas notre journée! Pura vida! 🙂
Voici pourquoi ça prend un 4×4 pour voyager au Costa Rica.
En essayant de monter aux chutes de Montezuma.
Les grosses sauterelles du Costa Rica. Ça te bouffe un jardin ça!
Chicco (un des deux chiens de Mélanie et Frédéric) notre nouvel ami…
Photo prise par Zac
Un beau phénomène naturel que les gars ont observé pendant environ 30 minutes. Une feuille avec des propriétés imperméables impressionnantes qui fait perler l’eau. Ils font des études sur cette plante pour reproduire le phénomène pour faire des tissus genre Gore tex, il paraît.
Chicco le chien perché. Il a dû apprendre ça des singes du coin.