Hiver 2016 – Roatan (Honduras)

Hiver 2016 – Roatan (Honduras)

Hiver 2016 – Roatan (Honduras)

L’ile de Roatan, au Honduras est un endroit magnifique à visier. Nous y avons passé une semaine en janvier 2016 dans un tout inclus, le Henry Morgan.
Roatan est la plus large des iles du secteur Bay Islands. C’est une ile longue et étroite qui mesure environ 60 km de long par 5 km de large en son point le plus large.
Elle est complètement entourée par un écosystème corallien qui fait partie de la barrière de corail mésoaméricaine. Elle attire donc beaucoup les amateurs de plongée en bouteille et en apnée. La barrière de corail mésoaméricaine est la deuxième plus grande au monde après celle de l’Australie. Elle s’étend de Bay Islands jusqu’au Mexique. C’est évidement la plus grande barrière de corail de la mer des Caraïbes. Roatan est donc devenu une destination importante pour les bateaux de croisières, les plongeurs et les amateurs d’écotourisme.
Le tourisme est son activité économique la plus importante mais la pêche occupe aussi une grande place dans l’économie locale.
Informations pratiques :
 
Le vol: Nous avons volé avec Air Transat
Durée du vol : environ 4h30
Départ de Montréal
Décalage : 1 heure de décalage avec le Québec
Durée du séjour : 7 jours
Hébergement : Henry Morgan
Date : du 4 au 11 janvier
Coût : environ 1600$/pers

Roatan - Honduras

2013 – Tortuguero et rafting à Sarapiqui

2013 – Tortuguero et rafting à Sarapiqui

Rafting à Puerto Viejo de Sarapiqui : ça brasse dans le raft!

Une des activités coup de cœur de notre voyage a été notre journée en rafting sur le Rio Chirripo. Ce fut une journée haute en émotion surtout avec Zac qui a été éjecté du raft dans un passage étroit. Notre raft est resté coincé pendant quelques secondes et pendant ce temps, le courant l’a fait passer en dessous du bateau. Nous l’avons repêché un peu plus loin avec la corde de notre guide. Ouf! Pour voir comment ça s’est passé, regardez notre vidéo, Samuel a tout filmé. Zac a vraiment fait ça comme un pro. Il n’a pas paniqué (lui!) et s’est laissé descendre, les pieds en avant, comme le guide lui avait expliqué. Ce fut une bien belle journée dont nous nous souviendrons longtemps!

Quelques moments de notre excursion en rafting sur le Rio Chirripo

À Puerto Viejo de Sarapiqui, nous avons logé au Héliconias Island où on retrouve des jardins magnifiques.

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Tortuguero: l’Amazonie des Caraïbes!

La dernière étape de notre voyage fut Tortuguero, sur la côte des Caraïbes. Aucune route ne mène à Tortuguero, c’est un endroit qui est accessible seulement par bateau ou par avion. Comme le hasard fait bien les choses, nous avons rencontré, dans le bateau qui fait le transport de La Pavona à Tortuguero, Anne et sa famille, avec qui nous avons passé deux journées mémorables.

Mais tout d’abord, il faut parler un peu de Tortuguero qui est l’endroit que nous avons trouvé le plus dépaysant de tout le voyage. Comme je le disais précédemment, l’endroit est accessible seulement par bateau ou par avion, ce qui fait qu’il n’y aucune voiture dans le village. D’un côté du village, on retrouve tout un réseau de canaux qui abrite une faune et une flore d’une richesse incroyable et de l’autre côté on retrouve une plage qui sert de lieu de nidification pour 4 espèce de tortues de mer.

L’excursion en canoë sur les canaux du parc national

Le lendemain de notre arrivée, nous avons fait la visite des canaux avec notre guide, Abel. Notre tour de canoë était très tôt le matin, à 6 hres. Il parait que la vie appartient à ceux qui se lèvent tôt!  Il est important de prendre un tour avec un bateau à rame, qui risque moins de faire peur aux animaux. Le tour dure environ 3 heures. Au retour de la balade, le petit déjeuner fut bien apprécié…

Tortuguero est réputé comme étant un des meilleurs endroits pour faire de l’observation d’oiseaux. Un oiseau vu dans les canaux de Tortuguero. Il se tient sur une patte pour se reposer.

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Le Jacana du nord, avec ses immenses pattes (qu’on ne voit pas sur la photo malheureusement) peut marcher sur la végétation qui flotte. Les jacana sont aussi appelés les oiseaux Jésus car ils semblent marcher sur l’eau.

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Les canaux de Tortuguero nous font voir des paysages féériques…Mais, disons que je ne serais pas allé me baigner dans l’eau…

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Une iguane verte

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Un anhinga à la pêche. Il est aussi appelé ‘snake bird’. C’est vrai qu’on pourrait penser que c’est un serpent quand il est dans l’eau comme ça. Il ressemble au cormoran et se nourrit de poisson.

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Une iguane, animal aux allures totalement préhistorique!

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La femelle anhinga qui fait sécher ses ailes. Comme les cormorans, ils ne possèdent pas de glande qui produit l’huile qui rend les plumes imperméables. Par contre, ça leur permet d’être d’excellents plongeurs.

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Toute la petite gang au retour de notre excursion sur les canaux du parc national de Tortuguero. Malgré la pluie qui a tombé pendant une bonne partie de l’excursion, notre guide Abel nous a permis de voir une bonne quantité d’animaux dont : des singes hurleurs, des paresseux, des singes araignées, des iguanes, des grenouilles et plusieurs espèces d’oiseaux.

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Une partie du plaisir du voyage à Tortuguero fut de prendre un hébergement situé au cœur du petit village coloré de Tortuguero et de visiter ses petites rue où nous nous sommes perdus quelques fois. Ici, le cachet à été préservé, et malgré le fait que beaucoup de touristes y passent, on se sent vraiment au bout du monde!

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Ces anciennes machineries que l’on peut voir dans le village de Tortuguero sont des vestiges de l’époque de l’industrie du bois à Tortuguero qui a eu lieu dans les années 40. L’exploitation forestière a cessé vers 1972.

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Des Ticos dans les rue de Tortuguero.

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Samuel, heureux d’être à Tortuguero.

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Et pourquoi pas un petit massage relaxant sur la plage.

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En marchant environ 100 m à partir du village, on a accès à une plage de sable noir de 5 km. Le parc quand à lui, comprend 35 km de plage. Par contre, sans guide, la plage du parc est interdite de 18 hres à 6 hres du matin en période de ponte (du 1 mars au 31 octobre).

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Le Don Quichote. Un tout petit hôtel de 6 chambres tenu par Gilles, un français fort sympathique.

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Les enfants s’amusent à jouer aux cartes en attendant le souper.

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Les singes-araignées ont bien du plaisir à Tortuguero.

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Vers 17 hres, à l’entré du parc national de Tortuguero, les guides font la file pour se faire assigner un emplacement pour l’observation de la ponte des tortues de mer. L’assignation se fait par tirage au sort. Remarquez le guichet d’entrée du parc qui est un bateau!

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Pour explorer la partie terrestre du parc national, les bottes de caoutchouc sont obligatoires. C’est pour cette raison que l’on retrouve plusieurs commerces aux abords du parc qui offrent aux touristes la location de bottes.

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L’observation de la ponte des tortues, un moment inoubliable!

Nous avons eu la chance de nous trouver à Tortuguero pendant la période de ponte des tortues de mer. Nous avons donc fait, en compagnie de notre guide Raphael, une excursion nocturne pour aller observer ce phénomène extraordinaire. Malheureusement, je n’ai pas de photo de ça car les flash sont interdit. Mais je peux vous dire que c’est d’abord assez spécial de partir dans la forêt tropicale la nuit et d’y entendre tous les bruits de la nature (dont des jaguars…?). Quand on se dirige ensuite vers la plage et qu’on aperçoit une grosse bosse au loin qui semble bouger, on comprend que c’est une tortue qui sort de la mer pour venir y pondre ses œufs. Mais c’est énorme ces tortues là! Ça pèse entre 350 et 500 kg. Ça leur prend toutes leur force pour se hisser sur la plage, creuser un trou, pondre environ 120 œufs, les enterrer et repartir dans la mer. Elles risquent leur vie car elles se font souvent attaquer par des jaguars. Et de ce nombre d’œufs, seulement 1 bébé tortue sur 1000 survivra jusqu’à l’âge adulte…Les tortues de mer se reproduisent toutes les 2 ou 3 ans. Elles vont habituellement revenir pondre sur la plage qui les a vu naître.

Tortuguero signifie : “Là où pondent les tortues”

Notre guide Rafael et sa fille. Un local, natif de Tortuguero. Un gars vraiment sympathique, un sourire contagieux. C’est avec lui que nous avons fait l’excursion de nuit pour aller voir la ponte des tortues de mer sur la plage.

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Le village de Tortuguero et ses petites rues piétonnières est vraiment charmant. Ici, la principale industrie est le tourisme. Nous avons eu la chance de pouvoir discuter avec quelques locaux qui nous ont confirmé que depuis quelques décennies, leur petit bout de paradis a été littéralement envahi par tous ces touristes qui arrivent par bateaux à chaque jour. Ils en profitent quand même car plus de 100 guides locaux gagnent leur croûte en faisant connaître leur région aux touristes de passage.

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Avant de rependre la bateau-taxi qui nous ramena à La Pavona. Un peu mouillés mais enchantés de cette belle expérience dépaysante que nous avons vécu à Tortuguero.

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La fruiterie de Tortuguero

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À Tortuguero, le réseau de transport public se fait par la voie de canaux qui ont été creusés pour éviter d’avoir à utiliser la voie maritime pour les déplacements. Ce n’est que depuis 1979 que des bateaux font le lien entre Tortuguero et le reste du monde. Et c’est en 1982 que le village a connu sa première génératrice électrique. Pas de doute, on est dans un autre monde! Ce fut un grand plaisir de se rendre à Tortuguero dans ces bateaux taxi. Le voyage de La Pavona à Tortuguero prend environ 1 heure.

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Sur les bancs publics, des messages pour la protection des manatis.

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En repartant, nous avons eu droit encore une fois à une douche tropicale. Et je dis bien douche et non pluie. Il faut dire qu’ici il tombe environ 6300 mm de pluie par an! C’est plus que 5 fois ce que l’on reçoit en précipitation annuellement au Québec, pluie et neige combiné. Alors attention, quand ça tombe, ça tombe!

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Un des taxis boat qui fait le transport de La Pavona à Tortuguero.

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La ville de San  José, la veille de notre retour. Nous n’avons pas visité la ville, nous préférions prendre le temps que nous avions pour explorer la nature et les petits villages.

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À l’aéroport de San José, le matin de notre retour. Pour terminer en beauté et pour faire plaisir à mon tchum, une belle annonce de la bière Impériale, produite au Costa Rica.

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Et c’est ainsi que se termine notre beau voyage au Costa Rica. Cette aventure nous a fait voir un endroit magnifique avec une nature exubérante et des habitants accueillants. Elle nous a ouvert les yeux sur une culture très différente de la nôtre et des conditions de vie pas toujours très faciles. Je remercie la vie de nous avoir permis de vivre cette belle expérience au maximum, toute la famille ensemble…J’espère vous avoir donné le goût de vous y rendre!
Merci de nous avoir suivi dans cette belle aventure!

2013 – Puerto Viejo et ses environs

2013 – Puerto Viejo et ses environs

La visite du Jaguar Rescue Center

À Playa Chiquita, nous avons fait la visite du Jaguar Rescue Center, une fondation qui s’occupe de la réhabilitation et la réintroduction d’animaux blessés. Des bénévoles s’occupent de nous faire faire la visite et nous raconte les histoires de leurs petits réfugiés. C’est une visite que nous avons beaucoup aimé. Nous avons pu entrer dans la cage des bébés singe, les flatter et les nourrir.

La fameuse grenouille aux yeux rouges que l’on voit sur toutes les photos du Costa Rica

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Les œufs de la grenouille aux yeux rouges sont déposés sous une feuille surplombant une mare d’eau. Les têtards s’y développent rapidement. Une minute après l’éclosion, ils tombent à l’eau.

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Un arbre bien équipé contre les prédateurs…(le silk floss tree).

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Bien des efforts pour ce petit bébé paresseux…Malgré tout, il garde le sourire! Pura vida!

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On se sent observé, ne trouvez-vous pas? On dirait qu’il pose pour la photo (Yellow-throated Toucan)

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Un petit resto à Playa Chiquita où on est revenu quelques fois. Quand on est tanné du gallo pinto (mélange de riz et de fèves) et du casados (mélange de toutes sortes d’affaires), une bonne pizza ça fait du bien! Remarquez la planche de surf à l’entrée…

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À Puerto Viejo, au Coco Loco Lodge, comme il n’y a pas de moustiquaire aux fenêtres, on dort avec un filet…Cool!

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Le passage de l’armée de fourmis (les army ants)

Nous avons vécu une expérience assez impressionnante et un peu effrayante avec les fourmis au Coco Loco Lodge. Nous revenions à notre cabine en fin de journée contents d’avoir passé l’après-midi à la plage. Sam était encore nus pieds, il étais en avant. Tout à coup, il se met à crier. Il avait marché dans la trail d’une armée de fourmis et s’était fait mordre. Il y en avait des millions autour de notre cabine! Elles se suivaient à la que leu leu. C’était bien pire que sur ma photo. Elles se dirigeaient vers quoi? On ne l’a jamais su. Elles se déplacent en ligne et tuent tout ce qu’elles rencontrent sur leur chemin (insectes et petits animaux). On a su qu’elles sont appelées ici les “nettoyeuses”. Si elles décident de passer par une maison, il ne reste plus aucune coquerelle ou autre vermine après leur passage…C’est quand même un bon point! Moins cher qu’un exterminateur. Elles vivent dans des nids temporaires entre leurs ‘parties de chasse’.

C’est là que mon filet autour du lit m’a rassurée!

Du haut de notre galerie, on les a observé jusqu’à la tombée de la nuit. Le lendemain matin, plus aucune trace de l’armée! Ouf!

Voici un petit vidéo que j’ai trouvé et qui montre une armée de fourmis en train d’attaquer d’autres animaux. Attention, cœurs sensibles, s’abstenir!

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Dans les rues de Puerto Viejo règne une ambiance un peu hippie, un peu reggae…très très relaxe. Ici, on est pas très loin de la frontière avec le Panama. La population est un mélange de Ticos, pas mal de Jamaïcains et une bonne partie d’Européens qui ont immigré ici.

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À Manzanillo, Sam prèt à prendre la vague en body surf. Les lunettes? Indispensable!

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Tadam!! Tout droit sorti de l’eau!! Toujours avec ses lunettes…

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Sam qui essayait de faire tomber des noix de coco en lançant…des noix de coco! (Manzanillo)

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Une journée chez les Bribris

Avec Karine, une guide française, nous avons passé une journée magnifique dans une communauté de Bribri, un peuple indigène du Costa Rica qui vit tout près de Puerto Viejo, dans le village de Bribri. À Bribri, on se situe tout près du territoire Panaméen.
Les Bribris vivent principalement de l’agriculture (plantations de cacao, de bananes, de riz, de maïs…) et maintenant j’imagine aussi, du tourisme! Ils vivent en clan, à plusieurs générations dans la même maison. Une des familles qu’on a visité vivait à 4 générations sous le même toit.

Initiation au tir à l’arc avec un arc traditionnel. Pas facile! Les Bribris s’en servaient à l’origine pour chasser et pêcher.

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Nous avons fait la visite de leur plantation et nous en avons appris beaucoup sur les plantes médicinales qu’ils utilisent.

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Une fleur tropicale spectaculaire, le zingiber spectabilis.

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L’art de faire le cacao, appelé aussi la boisson des dieux

Une des tradition des Bribris est la fabrication du chocolat. Nous avons assisté à toutes les étapes du procédé et bien sûr, pour terminer, nous avons fait la dégustation du produit final!
Le cacao a pour les Bribris une signification spirituelle spéciale. Les branches du cacaotier ne sont jamais brûlées. De plus seules les femmes peuvent préparer le cacao (la boisson des dieux) et celui-ci est utilisé lors des cérémonies.
Les fèves de cacao sont récoltées à partir du fruit du cacaotier. Cet arbre a des exigences écologiques assez particulières (climat chaud et humide, ombrage, sol…) Les fleurs du cacaotier mesurent environ 1 cm et seulement 1 sur environ 500 donnera un fruit qu’on appelle la cabosse. Cette cabosse n’est pas encore mûre. En moyenne un arbre donne environ 150 cabosses par an, ce qui donne près de 6 kg de cacao.

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En ouvrant une cabosse, on peut voir les nombreuses graines regroupées en épis, qu’on appelle les fèves de cacao. Chaque graine est entourée d’une couche blanche sucrée. Ça se mange un peu comme du bonbon.

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Les fèves sont récoltées et sont laissées à fermenter et sécher pendant environ 30 jours.

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Les fèves sont ensuite torréfiées pour permettre le développement des arômes du cacao.

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Les fèves de cacao sont ensuite broyées pour former une pâte de cacao.

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Le beurre de cacao produit est très amer.

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Notre guide avait apporté une petite boîte de lait condensé sucré pour faire une trempette au chocolat dans laquelle on a trempé des bananes. Délicieux!

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On a aussi goûté la boisson chaude servie dans des contenants naturels.

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En ajoutant un peu de lait en poudre, on fait un bon chocolat chaud qui a fait le délice des enfants.

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Avec le beurre de cacao et du sucre, notre hôtesse façonne des petites boules que nous avons dégustées et rapportées avec nous.

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Les Bribris sont des gens magnifiques… Cette femme a 27 ans (celle de gauche) !

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Dans une autre famille, nous sommes allés prendre le repas du midi.

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Nous avons dégusté le traditionnel casados avec nos doigts dans une feuille de bananier. Vu comme ça ce n’est pas très appétissant mais c’était délicieux!

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Remarquez le plancher de la hutte…pas très rassurant.

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Nous en avons profité pour ramener quelques souvenirs de leur artisanat local.

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Les Bribris chassent les iguanes pour les manger. J’avoue qu’à la grosseur qu’elles ont, il doit y avoir pas mal de viande là-dedans.

On se la coule douce à Playa Chiquita

Nous nous sommes permis quelques jours de farniente à Villas del Caribe à Playa Chiquita. Nous avons adoré cette plage avec son récif de corail. C’était d’une tranquillité absolue! Pas un chat sur la plage à des kilomètres à la ronde…un autre coin de paradis!
Les petits escargots colorés à Zac

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Elle me fait penser au film “Une vie de bestiole” !

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Un des rares hôtels de la région qui est directement sur la plage. Quel bonheur de sortir de la chambre le matin pour aller prendre une petite marche matinale et faire quelques photos…

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Un surfeur est arrivé en vélo avec sa planche et son chien. Son vélo est muni d’une sorte de rack pour transporter sa planche. Son chien l’attend patiemment pendant qu’il fait son surf du matin. C’est quand même une belle vie…

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Les belles vagues de Playa Chiquita

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Zac qui ne se tannera jamais de jouer dans le sable sur la plage

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Totalement Zen comme plage.

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Notre belle piscine de l’hôtel. Ici aussi, personne d’autre que nous. On est en basse saison.

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Des oursins noirs dans les coraux.

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Une des innombrables beautés tropicales du Costa Rica, le flamingo flower

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2013 – San Gerardo de Dota et Cahuita

2013 – San Gerardo de Dota et Cahuita

En traversant vers les Caraïbes, à la poursuite du fameux quetzal…

Après Manuel Antonio, nous avons entrepris la traversée du pays en largeur pour nous rendre sur la côte des Caraïbes. Comme nous n’étions pas trop pressé, nous en avons profité pour couper le voyage en deux et faire un arrêt dans le coin du parc national Los Quetzal, plus précisément à San Gerardo de Dota. Dans cette région, les gens viennent surtout pour essayer d’y voir le quetzal l’oiseau emblématique du Costa Rica. Ce fut vraiment un petit bout du voyage très particulier. Tout d’abord, pour s’y rendre, on suit la Panaméricaine qui nus fait passer par le Cerro de la Muerte à une altitude de plus de 3300m. En quelques heures, on passe de 30 degrés à 15 degrés. Ensuite, pour aller à San Gerardo de Dota (qui est minuscule soit dit en passant) il faut descendre au plus profond d’une vallée très étroite. Ce qui fait qu’on a l’impression d’être complètement isolés…
Bref, on est partis Denis et moi à 6 hres du matin pour observer le fameux moineau en question. Nos deux moineaux, on les a laissé dormir bien au chaud les pauvres petits…Sous les conseils de quelques ticos, on s’est rendus à un endroit bien particulier et on a effectivement pu le voir dans toute sa splendeur…

Vraiment, il est impressionnant à voir cet oiseau!
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Une photo au timing parfait!
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En traversant dans le coin de Limon, c’est le domaine de la bananeraie. On voit des milliers de containers pour les bateaux et les camions. Les grosses compagnies comme Del Monte et Dôle sont bien représentées. Bon, mettons qu’ils auraient peut-être besoin d’un graphiste pour faire leur panneaux publicitaires mais le message est là!
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En arrivant sur la côte, surprise, les routes ici sont pas mal plus belles que ce qu’on a vu sur la péninsule de Nicoya. On roule même à 100 km/h!
C’est au Colibri Rouge que nous nous arrêtons pour commencer. En arrivant au Colibri Rouge, on est accueilli par une énorme bibitte qu’on dirait sortie du parc jurassique! Quand ça tombe sur le dos ces affaires là, c’est fait!

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Sur la plage de Punta Uva, on joue à ‘Seul contre la nature’. Les gars trouvent des noix de coco et les ouvrent pour boire le lait de coco.

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Le parc national Cahuita

Le parc national de Cahuita est un petit parc à faire absolument si vous allez dans ce coin là. Un beau sentier de sable pas très difficile longe la plage, dans la jungle. On l’a fait sans guide et on a quand même vu des singes hurleurs, des paresseux et autres bibittes…

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Des traces de raton sur la plage.
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 Une trace de bouts de feuilles laissée par des fourmis coupeuses de feuilles. Elles sont très abondantes ici et coupent des bouts de feuilles qu’elles transportent jusque dans leur nid pour servir de support végétal pour faire pousser les champignons dont elles se nourrissent.
On dirait des confettis verts!

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Un rainbow crab au parc Cahuita. Ils sont vraiment beaux!

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Moi et mes gars…

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Sam qui a retrouvé la forme!! Youpi!
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Il faut traverser quelques petites rivières sur le sentier qui longe la plage au parc Cahuita.
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Le mâle et la femelle.

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Zac et son petit ami Bernard…l’hermite.IMG_0937

Un serpent arboricole vu à Cahuita, apparemment venimeux. On a pas fait le test…
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Un ancien quai au parc de Cahuita
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Cette araignée est une golden silk spider. Elle fait une toile dorée et il vaut mieux rester dans les sentiers pour éviter de foncer dans une de ces toiles. elle n’a pas dangereuse mais quand même…

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Patrice, Fabienne et Lilas (la chienne). Les propriétaires du Colibri Rouge. Des Français venus s’installer ici il y a quelques années. Ils sont vraiment sympathiques.
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2013 – Manuel Antonio

2013 – Manuel Antonio

Le parc Manuel Antonio et Playa Espadilla, beaucoup de singes et de monde!

Notre passage au parc Manuel Antonio ne fut pas un grand succès…Premièrement, l’hébergement qu’on a trouvé à Quepos n’était pas, disons, reluisant de propreté. Nous avons donc changé d’endroit après la première nuit. Nous avons décidé de trouver quelque chose tout près de l’entrée du parc pour ne pas avoir à y aller en auto. Nous étions à Playa Espadilla. On n’a pas aimé le côté super touristique de la place. C’est vraiment bourré d’hôtels et de vendeurs de toutes sortes de choses. On s’y attendait…On se disait qu’au moins le parc en vaudrait la peine car c’est apparemment bourré d’animaux. Finalement, le matin où on devait tous aller le visiter, les deux gars sont malades…diarrhée, vomissement, bon! Ça va mal! On les laisse se reposer, on les réhydrate, tranquillement, la forme revient. On a compris plus tard que c’était probablement plus de la déshydratation et un petit coup de chaleur qu’une tourista…La veille ils avaient joué toute la journée dans les vagues sans prendre le temps de boire suffisamment. Et voilà ce que ça donne!
Pendant leur petit repos, j’en ai profité pour aller faire le tour du parc. C’est vrai qu’il y a beaucoup d’animaux et qu’ils sont faciles à voir mais peut être que c’est parce que j’étais toute seule (de ma gang) pour les voir…j’ai vite fait le tour et je suis revenue à la Cabinas voir mes petits malades…

Un singe hurleur au parc Manuel Antonio

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Petite grenouille photographiée par Zac

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Les singes capucins du parc Manuel Antonio. Attention, ils se spécialisent dans les vols de lunchs des touristes!

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 Une maman avec son bébé…

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 Zachary et Samuel…Oups! pardon! Deux singes capucins au parc Manuel Antonio…;) Ils sont cute quand même!

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 Une iguane au parc Manuel Antonio

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Sur la playa Espadilla, des vagues quand même respectables.

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Denis qui raconte ses histoires de pêche…

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Du snorkeling en eau…très peu profonde! Pour savoir ce qu’ils étaient en train de faire, voir le vidéo suivant la photo.

Si quelqu’un sait ce qui fait ces petits trous dans le sable svp dites-nous ce que c’est!

Un paresseux vu sur la playa Espadilla. On était vraiment à environ 3 mètres de lui! Après on en a vu d’autres mais jamais d’aussi proche.

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2013 – Monteverde, une tyrolienne de 1 km dans la forêt de nuages

2013 – Monteverde, une tyrolienne de 1 km dans la forêt de nuages

Un petit tour dans la forêt des nuages…

Après ces belles journées sur la côte du Pacifique, c’est à Monteverde, dans la forêt de nuage, que nous nous dirigeons. De Santa Elena, il faut prendre un traversier entre Paquera et Puntarenas.

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On passe le temps sur le traversier qui nous amène de Paquera à Puntarenas.

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Elle me fait rire cette photo…On dirait vraiment qu’ils jasent ensemble!

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Sur le traversier…

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En arrivant à Puntarenas, une ville portuaire sans intérêt. On passe vite et on continue notre route…

En montant vers Santa Elena, on voit des paysages magnifiques. C’est très valonneux, avec des champs de vaches et quelques habitations. Très paisible…En montant en altitude, on sent que le climat change complètement. On perd environ 10 ou 15 degrés. On sort nos polars et nos pantalons longs.

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 J’adore ce genre de paysage. On se croirait plus dans les Alpes que dans les Tropiques. Très difficile d’en rendre toute la splendeur en photo par contre…J’ai vraiment besoin d’un grand angle!

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La tyrolienne à Monteverde

La corde de Tarzan

Samuel dans la réserve de Curi Cancha.

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LA chose à faire à Monteverde, c’est de la tyrolienne. Avec Selvatura, nous avions pris le forfait ponts suspendus, tyroliennes, jardins de papillons et colibris. On a vraiment tripé! Nous avons fait 18 tyroliennes à différentes hauteurs au dessus de la forêt. La plus longue mesurait  1 km! Pour celle-là, on était 2 par 2. Qu’elles sensations!

Voyez le vidéo de Samuel pour avoir un petit aperçu…

On a aussi fait de la corde de Tarzan. Samuel était le premier du groupe à passer. Sans hésiter, il s’est jeté dans le vide! Ouf! Petit coup d’adrénaline!

Après les sensations fortes du zip line, nous sommes allés visiter les jardins de colibris et de papillons. Plus relaxe mais très intéressant…

Des colibris encore et encore!

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J’ai eu la chance de prendre en photo ce morpho bleu au jardin de papillons de Selvatura. C’est le plus grand papillon du Costa Rica. Il est difficile à photographier car il est toujours en mouvement. Et surtout, il faut le prendre d’en haut pour voir le bleu métallique de ses ailes. Le revers de ses ailes, plus discret, est doté d’ocelles qui imitent les yeux de plusieurs oiseaux, destinés à effrayer les prédateurs.

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La chenille du morpho. Il parait qu’elle pue…Ça doit être un moyen de défense j’imagine!

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 À Santa Elena, dans les jardins de l’hôtel Miramones. Un hébergement tenu par un couple de suisses.

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En allant vers Manuel Antonio, sur la côte du Pacifique, il y a un endroit juste avant Tarcoles où une rivière se jette dans l’océan. Du haut du pont, on peut y observer des dizaines de crocodiles qui se prélassent dans la bouette. Impressionnant!

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